Amarone Casanova. Le plus séducteur des vins.

L’Amarone est certainement l’un des vins les plus populaires. Mais comment expliquer cet engouement ?
Il est facile de répondre à cette question. L’Amarone polarise. C’est un vin flatteur mais puissant. Il a une forte structure tout en présentant une saveur légèrement moelleuse. Il est concentré mais élégant. C’est précisément cet équilibre qui fait le succès de l’Amarone. Chacun trouve
en lui ce qu’il aime. En outre, il confirme la tendance générale à privilégier une qualité élevée, ce qui est une bonne chose. Enfin, ce que l’on évitait il y a dix ans est aujourd’hui à la mode. A l’instar du rosé qui depuis longtemps n’est plus seulement apprécié en été, l’Amarone se déguste aujourd’hui toute l’année. Il reste toutefois un vin idéal pour la saison froide, comme le rosé est un accompagnement parfait pour les pique-niques.
Une nouvelle réjouissante pour cet automne.
Nous avons le plaisir de vous annoncer le lancement pour la saison froide au début novembre de l’Amarone Casanova. Notre producteur, Cantina Valpolicella, produit ce vin à partir de cépages autochtones de Vénétie (Corvina, Corvinone et Rondinella). L’Amarone est tout un art Voici quelques informations au sujet de la méthode de fabrication très exigeante de l’Amarone.
MÉTHODE DE FABRICATION DE L’AMARONE
1. Après la récolte, les grappes sont mises à sécher dans des locaux aérés (sur de la paille ou des claies).
2. Durant cette opération, le raisin perd 30 – 40% de son poids.
3. L’acidité, le sucre et les extraits secs se concentrent.
4. Les grappes sont régulièrement retournées pour éviter la pourriture.
5. Egrappage après environ 3 – 4 mois.
6. Les grains ressemblant à des raisins secs sont pressés, et la fermentation alcoolique s’engage.
7. Elimination de la pellicule (filtration).
8. Le vin mûrit pendant au moins 2 ans ½ en fût de chêne puis pendant au moins 6 mois en bouteille avant d’être mis sur le marché.
 
Seules les grappes les plus belles et les plus mûres sont sélectionnées pour l’élaboration de l’Amarone, et celles-ci peuvent perdre jusqu’à 70% de leur poids. Le producteur a donc impérativement besoin de deux fois plus de raisin qu’il n’en faudrait pour un vin « normal ».
Cela explique aussi la différence de prix. Plus de travail, plus de raisin = prix plus élevé, mais aussi un plaisir décuplé !